Disponible : 1 Chiot
L.O.F, femelle noire née le 11.02.2008
Père
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Mère
: |

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Ch. Ubo-Goss
Né le : 13/03/2003
Père : Patch
des loups des carrières
Mère : Ch. Roccia
de la cité de la rune de dalle |
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Dauna
Née le : 08/01/2004
Père : Ch. Asso di villa lidia
Mère : Gioia del cerberus |
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Saillie
effectuée le 11.12.2007 - Chiots nés le
11.02.2008
- Chiots disponibles à partir du 06.04.2008
Chiots
inscrits au L.O.F - 1 Femelle
+
d'infos (mises à jours le 09.05.08) |
Photos en date du 09.05.08 (12 semaines) (Cliquez sur les photos pour
agrandir)
: |
Dauna
Des Deesses Du Nord (Femelle Noire) - Disponible |
    |
Inscrite au LOF sous le numéro LOF 2 CA.CO.14064 - Identification par tanspondeur : 250268500031708
> Copie du pedigrée < |
|
Père : Ch. Ubo-Goss
Ch.
Luxembourg, de Serbie monténégro,
du Bulgarie et
de Macédoine |
Mère : Dauna
Chienne
"Recommandée" par l'A.F.C.C |
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Généalogie
des chiots (Cliquez sur les noms soulignés pour visualiser
la photo) : |
Infos/Réservation :
E-mail : canecorsonord@gmail.com
Tél. : +33(0)6.10.01.03.72 ou +33(0)3.27.36.40.62
Rappel
:
Tous les chiens nés en France ou à
l'étranger après le 1er mai 2004 et
ayant les oreilles coupées sont interdits
en concours et en exposition en France, ils ne peuvent ni
être confirmés, ni inscrits au LOF
à titre initial,
au titre de la descendance, de l'importation ou inscrits sur
un livre d'attente.
La coupe des queues reste autorisée,
la France ayant demandé à être
exempté de cette disposition.
Aussi, nous vous recommandons de lire ce petit texte de Jim Willis
>>
lire le texte de Jim Willis
<<
Elevage
"DES DEESSES DU NORD" - Cane Corso Italiano - www.canecorso.fr
- canecorsonord@laposte.net
|
Avant
l'achat d'un chiot, prenez svp, le temps de lire ce texte de
Jim Willis...
Comment
t'as pu ?...
Copyright Jim Willis 2001
tiergarten@onebox.com
(Translated from the original English by Eleri Jones, France)
Quand j'étais un chiot, je t'amusais avec mes cabrioles et
je te
faisais rire. Tu m'appelais ton enfant, et ceci malgré
plusieurs
chaussures grignotées, sans oublier quelques coussins
déchiquetés. Je suis vite devenue ta meilleure
amie.
Chaque fois que je faisais une bêtise, tu agitais ton doigt
en me
demandant ’’Comment t'as pu ?’’
- mais tu me
pardonnais vite et tu me faisais de gros câlins.
J'ai mis un peu plus de temps que prévu avant de devenir
propre
parce que tu étais très occupé, mais
nous y sommes
arrivés à la fin. Je me souviens de ces nuits
tout
près de toi, dans ton lit où
j'écoutais tes
confidences et tes rêves les plus secrets, et je croyais que
la
vie ne pourrait pas être meilleure. Nous avons fait de
longues
balades et des jeux dans le bois, des balades en voiture, des pauses
pour manger une glace (je n'avais droit qu'au biscuit parce que la
glace est mauvaise pour les chiens, à ce que tu disais) et
je
faisais de longs sommes au soleil en attendant que tu rentres le soir.
Peu à peu tu as commencé à passer plus
de temps au
bureau, et plus de temps à chercher une compagne.
J'étais
patiente, je t'attendais sagement à la maison, je t'ai
réconforté après les
déceptions, quand tu
avais le coeur brisé, je ne t'ai jamais grondé
quand tu
prenais la mauvaise décision, et je te faisais une de ces
fêtes quand tu rentrais ! Et puis tu es tombé
amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'aime pas les chiens, mais je l'ai
accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de
l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureuse
parce que
tu étais heureux.
Et puis les bébés sont arrivés et j'ai
partagé ta joie. Ils me fascinaient, tout roses, avec leur
odeur
particulière, et je voulais aussi être leur maman.
Seulement, elle et toi aviez peur que je leur fasse du mal, et la
plupart du temps, j'étais punie et renvoyée dans
une
autre pièce, ou dans ma niche. Ah ! comme j'aurais voulu les
aimer, mais je suis devenue une prisonnière de l'amour.
Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenue
leur
amie. Ils s'accrochaient à ma fourrure et se servaient de
moi
pour se mettre debout sur leurs petites jambes instables, ils mettaient
leurs doigts dans mes yeux, ils fouillaient mes oreilles, et
m'embrassaient sur le museau. J'adorais tout d'eux, quand ils me
touchaient, parce qu'à ce moment là,
c'était rare
que toi tu me caresses encore, et je les aurais défendus
avec ma
vie en cas de nécessité.
Je rentrais en cachette dans leur lit et je partageais leurs soucis et
leurs rêves secrets; ensemble nous attendions
l'arrivée de
ta voiture. Autrefois, quand les gens te demandaient si tu avais un
chien, tu sortais de ton portefeuille une photo de moi et tu racontais
mes exploits. Ces dernières années tu
répondais
seulement ’’oui’’ et tu
détournais la
conversation. Je n'étais plus ton chien, j'étais
devenu
’’un’’ chien, et tu
commençais à
regretter l'argent dépensé pour moi.
Maintenant, tu as l'occasion de faire avancer ta carrière
dans
une autre ville, et toi et eux vous allez habiter un appartement
où les chiens ne sont pas admis. Tu as pris la bonne
décision pour ta famille, mais il y avait une
époque
où c'était moi ta seule famille.
J'étais heureuse quand tu m'as mise dans la voiture,
jusqu'au
moment où nous sommes arrivés au refuge. Ca
sentait les
chiens et les chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli les
papiers et tu as dit que tu étais sûr qu'ils
allaient me
trouver une bonne maison. Elles ont haussé les
épaules et
t'ont regardé tristement. Elles connaissent la triste
vérité : les difficultés de placer un
chien qui
n'est plus tout jeune, même un chien avec des papiers en
règle. Tu as été obligé
d'arracher les
doigts de ton fils qui restaient accrochés à mon
collier,
pendant qu'il hurlait ’’Non, papa, s'il te
plaît, ne
les laisse pas prendre mon chien !" Et je me suis
inquiété pour lui, de la leçon que tu
venais de
lui donner sur l'amitié et la loyauté, l'amour et
les
responsabilités, le respect de la vie, de toutes les vies.
Tu
m'as tapoté gentiment la tête, en guise d'adieu,
en
évitant bien de me regarder dans les yeux et tu as
refusé
de prendre mon collier et ma laisse. Tu étais en retard - un
rendez-vous - maintenant moi aussi, j'en ai un.
Quand tu es parti, deux gentilles dames ont dit que tu savais
sûrement, il y a quelques mois déjà,
que tu allais
déménager, mais que tu n'as pas
cherché à
me trouver une autre famille. Elles ont secoué la
tête et
se sont demandées ’’Comment t'as pu
?’’
Elles nous traitent aussi bien que possible, ici au refuge, compte tenu
de tout le travail qu'elles ont. Elles nous nourrissent, bien
sûr, mais depuis quelques jours, je n'ai plus faim. Au
début, dès que quelqu'un passait devant ma cage
je levais
la tête, dans l'espoir de te voir - pensant que tu avais
changé d'avis - que c'était un mauvais
rêve - ou
j'espérais que ce serait quelqu'un qui m'aimerait, qui
prendrait
soin de moi, me sauverait. Quand je me suis rendu compte que je ne
pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient
pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de
la
cage et j'ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle est venue me chercher à la
fin
de la journée, et je l'ai suivie docilement dans une autre
pièce. Une pièce tranquille, silencieuse. Elle
m'a mise
sur la table et elle m'a frotté les oreilles, elle m'a
rassuré, elle m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon
coeur
battait à tout va en pensant à ce qui allait
venir, mais
j'avais aussi un sentiment de soulagement. La prisonnière de
l'amour n'avait plus de jours devant elle. Telle est ma nature, je me
faisais plus de soucis pour cette femme. La charge qui pèse
sur
elle est lourde, ça je le sais, comme je devinais autrefois
chacune de tes humeurs. Doucement, elle a mis le garrot autour de ma
patte, une larme coulait sur sa joue. J'ai léché
sa main,
tout comme je te réconfortais, il y a tant
d'années de
ça. Elle a mis l'aiguille dans ma veine, en professionnelle.
Quand j'ai ressenti la piqûre et le liquide froid qui gagnait
mon
corps, je me suis allongée, je l'ai regardée dans
ses
yeux si gentils, et j'ai chuchoté
’’Comment t'as pu
?’’
Peut être parce qu'elle comprenait le langage des chiens,
elle
m'a dit: ’’Je suis vraiment
désolée’’. Elle m'a
câlinée et
elle m'a vite expliqué que c'était son devoir de
s'assurer que j'allais dans un endroit meilleur, où je ne
serais
ni ignorée, ni abusée, ni abandonnée,
où je
ne devrais pas me défendre toute seule - un endroit
où il
y a de la lumière, de l'amour, tout à fait
différent de notre terre. Dans mon dernier souffle j'ai
essayé, en remuant ma queue, de lui faire comprendre ceci :
je
ne voulais pas lui dire à elle ’’Comment
t'as pu
?’’... c'est à toi, mon Maître
adoré,
que je pensais.
Je penserai à toi et je t'attendrai toujours.
Puisse tout le monde, dans ton entourage, continuer à te
montrer autant de loyauté.
@JW
Une note de l'auteur :
Si "Comment t'as pu ?" a mis des larmes dans vos yeux en le lisant
comme cela me l'a fait alors que je l'écrivais, c'est parce
que
c'est l'histoire de millions d'animaux qui meurent chaque
année
dans des chenils américains et canadiens. Tout le monde est
bienvenu à distribuer cet essai dans un but non-commercial,
aussi longtemps qu'il est distribué correctement avec l'avis
du
copyright. S'il vous plaît utilisez-le pour aider
à
l'éducation, sur vos websites, dans des bulletins
d'information,
dans les refuges pour animaux et tableaux d'affichage du bureau du
vétérinaire. Dites au public que la
décision
d'ajouter un animal familier à la famille est une importante
décision pour la vie, que les animaux méritent
notre
amour et soins, et que la recherche d'une autre maison
appropriée pour votre animal est votre
responsabilité et
que toute vie est précieuse.
S'il vous plaît faites votre part pour arrêter le
meurtre
d'animaux et encourager les campagnes pour prévenir que des
animaux soient non désirés.
@JW |
Elevage
"DES DEESSES DU NORD" - Cane Corso Italiano - www.canecorso.fr
- canecorsonord@laposte.net
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